jeudi 4 avril 2013

Chinatown

Titre : Chinatown

Réalisateur : Roman Polanski

Date de sortie : 1974

Synopsis : Jake Gittes est engagé pour enquêter sur un homme que sa femme soupçonne d'avoir une aventure. Le mari est retrouvé mort quelques jours après et se rend compte que la femme qui se disait être la femme de Mulwray n'est pas la vraie femme. Il rencotre Evelyne Mulwray, la vraie femme du mort et entreprend son enquête sur le meurtre.  

Critique : J'ai bien aimé le film de Chinatown. L'intrigue du film était selon moi complète et surprenante. J'ai bien aimé voir Jack Nicholson joué ce rôle qui selon moi lui allait comme un gant. C'était aussi surprenant de le voir jeune, alors que je suis plus habituer de le voir tel qu'il est aujourd'hui. Faye Dunaway aussi interprète très bien son rôle de femme un peu mystérieuse dans l'histoire. L'histoire se tient bien et l'enquêteur, Jake Gittes, fait un peu comme Sherlock Holmes en trouvant la réponse au meurtre, mais en le cachant au spectateur, ce que j'aime beaucoup.

Film noir
Thèmes

Le crime : Le film se base sur le meurtre de Hollis Mulwray qui s'est fait assassiner  Jake doit trouver qui est le coupable et résoudre l'affaire. 

La ville : L'histoire se passe bien entendu dans la ville de Los Angeles, mais n'est pas tellement mentionné sauf lorsqu'il s'agit de la compagnie de la gestion d'eau de Hollis Mulwray.

La nuit : Une scène m'a particulièrement marqué, c'est lorsque Jake revient au lieu où ils ont retrouvé le corps de Hollis Mulwray. Il se fait tirer dessus et se retrouve pris dans un torrent d'eau que ses attaquants ont activé. La scène se passe dans le noir et rajoute du suspense. 

La cupidité : Le meurtrier de Hollis Mulwray a tué celui-ci seulement pour être le seul à posséder et diriger leur entreprise. Il a tué par cupidité.

Une morale ambivalente : À la fin du film, Gittes trouve la solution au meurtre, mais étant donné que le meurtrier contrôle la police, il ne peut rien faire et se fait renvoyer chez lui sans que le coupable ne soit punit. 

L'apparition du sadisme : Il n'y en a pas dans le film. 

Le renforcement de l'érotisme : Vers le milieu du film, Evelyne et Jake se rapproche et couche ensemble. 


Le pessimisme : Il n'y en a pas dans le film. 

Les personnages typiques 

Celui qui cherche la vérité : Jake tente de trouver la vérité à propos du meurtre de Hollis Mulwray et qui en est le responsable.

Le traqué : Jake est quelque peu pourchassé durant le film, mais ce n'est pas vraiment l'élément le plus important du film.

Le détective privé : Jake Gittes est un détective privé engagé par le femme du mort.

Le tueur à gage : Il n'y en a pas dans le film.
Le flic : À la fin du film, on se rend compte que la police est contrôle par le meurtrier et qu'il ne feront rien pour l'arrêter. 

Des perdants masochistes : Il n'y en a pas dans le film.

La femme fatale : La femme fatale du film est certainement Evelyne Mulwray, la femme du mort qui n'utilise pas particulièrement ses charmes sur Gittes, mais qui accepte quand même de coucher avec lui.



Caractéristiques stylistiques

L'éclairage en clair-obscur : Dans une image particulièrement, on peut voir la moitié du visage de Hollis Mulwray à moitié éclairé et l'autre moitié complètement noir.



Les angles de caméra : Lorsque Jake va voir le père de Evelyne, une plongée rabaisse le père et une contre-plongée augmente l'importance de Jake.

La voix-off : Il n'y a pas de voix-off dans le film.

Le cynisme expéditif des dialogues : Lorsque Jake va voir au bureau de Mulwray voir Yelburton, il quitte son bureau en étant très sec et cynique à son propos.

Des intrigues complexes : Le meurtre de Mulwray comporte plusieurs éléments qui sont très très difficile à relié et qui en tant que spectateur ne sont pas évidant à comprendre avant le dénouement.

Recours aux flash-back : Le film n'a pas recours aux flash-back.

Des huis clos oppressifs : Il n'y a pas de huis clos oppressifs dans le film.

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