mardi 30 avril 2013

G.I. Jane


Titre : G.I. Jane

Réalisateur : Ridley Scott

Date de sortie : 1997

Synopsis : Pour prouver que les femmes sont aussi capable que les hommes à passer les tests de la Navy, Jordan O’Neil participe aux tests de sélection. Malheureusement, plusieurs personnes ne sont pas d’accord avec son choix et tente par tous les moyens de l’empêcher de réussir. Jordan O’Neil doit se battre pour ses droits.

Critique : On m’avait dit que le film était bon, mais je ne m’attendais pas à l’aimer autant. J’ai été captivé par le film du début jusqu’à la fin. Le jeu de Demi Moore et Viggo Mortensen et très convaincant et j’ai eu beaucoup de facilité à embarquer dans l’histoire grâce à eux. L’histoire coule de façon très fluide et fasciné par elle. Aussi, je trouvais intéressant de voir que le film tourne principalement autour d’une femme qui ne se laisse pas marché sur les pieds. C’est plutôt rare de voir une femme forte lorsqu’il est question de l’armée. C’était rafraîchissant et vraiment intéressant. J’ai beaucoup aimé le film et je le recommande. 

dimanche 21 avril 2013

Hunger Games, Catching Fire

Le deuxième film de la série Hunger Games sort le 22 novembre prochain et a sortie sa bande annonce il y a quelques jours. La série ayant changé de réalisateur j'ai bien hâte de voir le résultat de ce film. Le nouveau réalisateur, Francis Lawrence, a réalisé entre autre le film I Am a Legend sorti en 2007 et de Water for Elephants sorti en 2011.


mercredi 17 avril 2013

True Grit


Titre : True Grit 


Réalisateur : Joel et Ethan Coen 

Date de sortie : 2010

Synopsis : Le père de Mattie Ross a été assassiné par son employé Tom Chaney qui s'est enfui avec une bande de hors-la-loi sur le territoire indien. Les autorités locales ne semblent pas vraiment se soucier de la mort de son père et Mattie décide d'engager le Marshal de sa région, Rooster. Rooster refuse et décide de partir avec LaBoeuf pour le trouver et faire plus d'argent, mais Mattie les rattrappe et ensemble, ils partent à la recherche du tueur. 

Critique : Selon moi le film True Grit est un très bon film qui vaut la peine d'être vu. Les acteurs sont très bien interprété particulièrement Mattie que je trouvais très convaincante pour une si jeune personne. En effet, elle joue le rôle d'une jeune fille qui agit comme une femme beaucoup plus vieille que son âge et qui sait comment se défendre. Jeff Bridges était également excellent dans son rôle de justicier un peu ambiguë. L'histoire est simple et c'est surement ce qui fait la force du film, il n'y a pas d'intrigue compliqué à comprendre. 

Western

Les personnages

Le trappeur : Il n'y a pas de trappeur dans le film.

Le pionnier : Il n'y a pas de pionnier dans le film. 
L'aventurier : Le personnage de Rooster, Mattie et LaBoeuf sont en quelque sorte les aventuriers de l'histoire puisqu'ils partent à la quête de Chaney. 

Le cow-boy : Il y a un petit garçon qui vend un cheval à Mattie au début du film. Le petit garçon n'est pas très important dans le film et apparaît que quelques minutes. 


Le justicier : Rooster Cogburn est le Marshal du film ce qui équivaut à peu près à un shérif. Il cherche à faire justice et à capturer Chaney. 



Le vagabond solitaire : Lorsque Mattie et Rooster se retrouvent sans LaBoeuf un « dentiste » les suivent. Il s'agit d'un vagabond qui erre seul avec ses chevaux et un mort pour faire ses expériences. 


Le hors-la-loi : Tom Chaney a tué le père de Mattie et est en fuite pendant la majeure partie du film. Il est le hors-la-loi que Rooster, Mattie et LaBoeuf tente de capturer. 


L'indien : Rooster et Mattie croise un indien très brièvement peu après avoir trouvé un pendu. L'indien parle quelque peu avec Rooster et s'en va avec le corps. 


Femme : Mattie est le personnage principal et n'est ni une mère, ni une prostitué. Ce n'est qu'une petite fille qui tente de venger son père.

Les décors

La prairie : 1:11:38 : Rooster et LaBoeuf ont eu un désaccord à propos des compétences de Rooster à tirer et après avoir réglé la question, ils se remettent en route et traverse la prairie. 



Le désert : Il n'y a pas de désert dans le film. 

Montagne : 1:08:10 : Après avoir quitté la petite maison qu'ils ont gagné dans les bois, ils abandonnent les morts au bord de la maison et repartent. Ils traversent alors une maison. 

Canyon : 1:13:02 : Rooster croit que Chaney se cache peut être dans un mine au bord d'un canyon, mais après avoir compris qu'il ne se trouvait pas là ils quittent la place rapidement. 



Vallée : Il n'y a pas de vallée dans le film.
La ville et une rue : 0:03:15 : Mattie arrive dans la ville par train et on voit la rue de la ville. 



Le saloon : Le saloon n'est que vaguement mentionné dans le film, mais on ne se trouve jamais dans le saloon lui-même. 

Le fort militaire : Il n'y a pas de fort militaire.

La gare : 1:41:00 : Plusieurs années plus tard, Mattie revient pour voir Rooster. Elle arrive par la gare et on peut la voir dans le train. 



Les accessoires

Les armes : Mattie hérite de son père et trouve dans son lègue, un fusil. Elle trouve un colt 45. 


Les outils : 1:03:19 : Lorsque LaBoeuf se fait traîner derrière le cheval de Ned, un des criminels l'attrape au lasso.

Le cheval : 0:29:28 : Mattie s'achète un cheval pour partir avec Rooster d'un cow-boy. Elle tient énormément à son cheval et devient un personnage important.

Les thèmes

L'émigration : L'émigration n'est pas un thème dans le film. 

Le travail : Le travail n'est pas un thème dans le film.

La lutte pour la propriété : 0:53:43 : Rooster et Mattie trouve une petite maison dans la forêt et étant donné qu'il commence à faire froid dehors, ils décident de négocier avec les propriétaires pour avoir accès à la maison mais ceux-ci sont peu réceptifs. 


La vengeance : Tout au long du film, Mattie tente de retrouver l'assassin de son père pour se venger. 

Aspects techniques

Plan américain : 1:20:11 : Mattie vient de trouver Chaney sur le bord d'une rivière. Alors qu'ils discutent, Chaney est filmé en plan américain. 

Très gros plan : Il n'y a pas de très gros plan dans le film.
 

mercredi 10 avril 2013

Braveheart

Titre : Braveheart 

Réalisateur : Mel Gibson 

Date de sortie : 1995

Synopsis : Lorsqu'il est jeune, William Wallace perd son père à la guerre. Plusieurs années plus tard, il revient dans son pays natale et tombe amoureux d'un jeune femme qu'il marie en secret. Une altercation avec un soldat anglais provoque l'exécution de celle-ci. Pour se venger, Wallace décide de libérer son pays de l'occupation anglaise. 

Critique : J'ai bien aimé le film de Mel Gibson. Durant mon écoute, je me demandais si l'histoire se baisait sur des faits réel et après j'ai découvert que William Wallace a réellement existé. Le fait que l'histoire se base sur un histoire vraie, donnent encore plus de crédit au film. Les acteurs interprètent très bien leur rôle et Mel Gibson est excellent dans son rôle de Guerrier. L'histoire est complète et se suit très bien. 

Péplum

Lieux

L'Égypte : L'Égypte n'est pas dans le film. 

La Grèce : La Grèce n'est pas dans le film.

L'Italie : L'Italie n'est pas dans le film. 

Grands espaces : 0:29:42 : Wallace demande aux parents de Murron s'il elle peut venir avec lui pour faire un tour de cheval et ils refusent, mais Murron embarque quand même avec Wallace. Ils traversent des grands espaces verts alors qu'il sont en cheval. 


Palais : 1:05:51 : Dans le film, le roi Édouard Ier d'Angleterre possède un palais et sa femme française et sa conseillère parlent dans le couloir de celui-ci. 

Temples : Il n'y a pas de temple dans le film. 

Personnages

Historiques : Dans le film, il y a deux personnages historiques. Le premier est William Wallace. Le film est inspiré de sa vie et relate ses plus grandes batailles. Le deuxième est Le roi Édouard Ier d'Angleterre avait envahi l'écosse et l'occupait. William Wallace s'est opposé à ce roi pour retrouver la liberté de son pays.

Bibliques : Il n'y a pas de personnages bibliques dans le film. 

Mythologique : Il n'y a pas de personnages mythologiques dans le film.

Caractéristiques

Nombreux figurants : 2:37:38 : Lors de la mise à mort de Wallace, le peuple se rassemble pour le voir se faire exécuter et la foule est très dense. Ils ont dû utiliser beaucoup de figurants. 

Grande mise en scène : 1:39:15 : William et son armée envahissent une cité d'Angleterre et utilise un bélier pour défoncer la porte et se battre. La bélier se fait asperger d'huile et se fait mettre en feu. 

Plan d'ensemble : 1:22:54 : Durant la première grosse bataille du film, on peut voir l'armée anglaise en plan d'ensemble qui met l'accent sur le nombre des soldats qui sont présents. 

Trucage démesuré : 2:04:43 : À la deuxième bataille, les anglais commandent aux archers de tirer et l'armée de Wallace. On voit plusieurs plans montrant des soldats qui reçoivent des flèches et meurent sur le coup, mais il y a une panoplie de soldats qui meurent et de flèches qui attérissent dans la foule. 

jeudi 4 avril 2013

Chinatown

Titre : Chinatown

Réalisateur : Roman Polanski

Date de sortie : 1974

Synopsis : Jake Gittes est engagé pour enquêter sur un homme que sa femme soupçonne d'avoir une aventure. Le mari est retrouvé mort quelques jours après et se rend compte que la femme qui se disait être la femme de Mulwray n'est pas la vraie femme. Il rencotre Evelyne Mulwray, la vraie femme du mort et entreprend son enquête sur le meurtre.  

Critique : J'ai bien aimé le film de Chinatown. L'intrigue du film était selon moi complète et surprenante. J'ai bien aimé voir Jack Nicholson joué ce rôle qui selon moi lui allait comme un gant. C'était aussi surprenant de le voir jeune, alors que je suis plus habituer de le voir tel qu'il est aujourd'hui. Faye Dunaway aussi interprète très bien son rôle de femme un peu mystérieuse dans l'histoire. L'histoire se tient bien et l'enquêteur, Jake Gittes, fait un peu comme Sherlock Holmes en trouvant la réponse au meurtre, mais en le cachant au spectateur, ce que j'aime beaucoup.

Film noir
Thèmes

Le crime : Le film se base sur le meurtre de Hollis Mulwray qui s'est fait assassiner  Jake doit trouver qui est le coupable et résoudre l'affaire. 

La ville : L'histoire se passe bien entendu dans la ville de Los Angeles, mais n'est pas tellement mentionné sauf lorsqu'il s'agit de la compagnie de la gestion d'eau de Hollis Mulwray.

La nuit : Une scène m'a particulièrement marqué, c'est lorsque Jake revient au lieu où ils ont retrouvé le corps de Hollis Mulwray. Il se fait tirer dessus et se retrouve pris dans un torrent d'eau que ses attaquants ont activé. La scène se passe dans le noir et rajoute du suspense. 

La cupidité : Le meurtrier de Hollis Mulwray a tué celui-ci seulement pour être le seul à posséder et diriger leur entreprise. Il a tué par cupidité.

Une morale ambivalente : À la fin du film, Gittes trouve la solution au meurtre, mais étant donné que le meurtrier contrôle la police, il ne peut rien faire et se fait renvoyer chez lui sans que le coupable ne soit punit. 

L'apparition du sadisme : Il n'y en a pas dans le film. 

Le renforcement de l'érotisme : Vers le milieu du film, Evelyne et Jake se rapproche et couche ensemble. 


Le pessimisme : Il n'y en a pas dans le film. 

Les personnages typiques 

Celui qui cherche la vérité : Jake tente de trouver la vérité à propos du meurtre de Hollis Mulwray et qui en est le responsable.

Le traqué : Jake est quelque peu pourchassé durant le film, mais ce n'est pas vraiment l'élément le plus important du film.

Le détective privé : Jake Gittes est un détective privé engagé par le femme du mort.

Le tueur à gage : Il n'y en a pas dans le film.
Le flic : À la fin du film, on se rend compte que la police est contrôle par le meurtrier et qu'il ne feront rien pour l'arrêter. 

Des perdants masochistes : Il n'y en a pas dans le film.

La femme fatale : La femme fatale du film est certainement Evelyne Mulwray, la femme du mort qui n'utilise pas particulièrement ses charmes sur Gittes, mais qui accepte quand même de coucher avec lui.



Caractéristiques stylistiques

L'éclairage en clair-obscur : Dans une image particulièrement, on peut voir la moitié du visage de Hollis Mulwray à moitié éclairé et l'autre moitié complètement noir.



Les angles de caméra : Lorsque Jake va voir le père de Evelyne, une plongée rabaisse le père et une contre-plongée augmente l'importance de Jake.

La voix-off : Il n'y a pas de voix-off dans le film.

Le cynisme expéditif des dialogues : Lorsque Jake va voir au bureau de Mulwray voir Yelburton, il quitte son bureau en étant très sec et cynique à son propos.

Des intrigues complexes : Le meurtre de Mulwray comporte plusieurs éléments qui sont très très difficile à relié et qui en tant que spectateur ne sont pas évidant à comprendre avant le dénouement.

Recours aux flash-back : Le film n'a pas recours aux flash-back.

Des huis clos oppressifs : Il n'y a pas de huis clos oppressifs dans le film.

samedi 30 mars 2013

Richard Griffiths


Richard Griffiths, acteur britannique, est mort le 28 mars après des complications lors d'une chirurgie cardiaque. Connu principalement pour son rôle de Vernon Dursley, l'oncle méchant de Harry Potter, Griffiths a aussi joué entre autre dans The History Boys et Withnail and I.  Il a aussi eu quelques rôles à la télé dont un inspecteur dans Pie in the Sky. L'acteur n'était agé que de 65 ans lorsqu'il est décédé le jeudi dernier. 

Daniel Radcliffe a rendu hommage à l'acteur en disant ceci : « En août 2000, avant même que le tournage de Harry Potter aut officillement commencé, nous avions tourné une séquence devant la maison des Dursley. C'était la première fois que je devais jouer Harry, j'étais nerveux et il m'a mis à l'aise. »1





1 JOURNAL DE MONTRÉAL, « L'acteur Richard Griffiths est décédé », [En ligne], http://www.journaldemontreal.com/2013/03/29/richard-griffiths-est-mort (Page consultée le 30 mars 2013).

vendredi 15 mars 2013

The Great Gatsby


Titre : The Great Gatsby


Réalisateur : Baz Luhrmann

Date de sortie :  10 mai 2013

Synopsis : En plein milieu des années folles, un jeune homme, du nom de Nick, déménage à New York pour réaliser son rêve de devenir écrivain. Un peu plus tard, il fait la rencontre de son voisin Gatsby. Ce dernier, quelque peu fêtard, lui fait vivre dans un univers de milliardaires. Inspiré parce ce qu'il vit, Nick commence à écrire sur sa vie entouré de cette classe sociale. 

samedi 2 mars 2013

King Kong

Titre : King Kong 

Réalisateur : Merian C. Cooper et Ernest B. Shoedsack 

Date de sortie : 1933

Synopsis : Carl Denham, un cinéaste, se cherche une actrice pour jouer dans le film qu'il a l'intention de filmé sur une île nommée « Skull Island ». Le voyage se passe bien, mais arrivé à l'île, ils se trouvent à interrompre une cérémonie des habitants de l'île. Les habitants demandent à échangé Ann, l'actrice, contre quatre de leur femmes. Carl refuse, mais les habitants montent sur le bateau et capturent Ann. L'équipage se lancent dans la quête de la bête et d'Ann. 

Critique : Bien sur quand j'ai loué le film de 1933 je ne m'attendais pas à être impressionné par les effets spéciaux et c'est donc plus sur l'histoire que je me suis concentrée. Le récit de King Kong est très bien raconté, mais il y a quelques moment dans le film où l'émotion de Kong n'est pas définissable et j'étais quelque peu perdu sur ses intentions dans ses moments. Sinon, le jeu des acteurs est surtout bon au début du film, lorsque Kong arrive, une genre de marionnette en stop-motion est utilisé et tous ce que les acteurs font c'est crier. Donc, dans la deuxième partie, le jeu des acteurs est un peu moins important. Même si je ne me suis pas concentrée sur les effets spéciaux, je dois mentionné que ce ne sont pas les plus réalistes que j'ai vu. Le stop-motion est assez évident et le son est peu présent lors de ses périodes. En effet, lorsque Kong se bat contre le tyrannosaure, il y a très peu de sons sauf les cris des deux créatures ce qui fait oublier que c'est une bagarre et on a un peu l'impression qu'ils jouent ensemble. Malgré tout, le film est bien et me donne envie de regarder la nouvelle version. 

Éléments du fantastique



Les personnages typiques : Le personnage atypique de King Kong est bien évidement Kong le gorille géant. Mais il y aussi dans le film des dinosaures, des créatures étrange comme un monstre qui ressemble étrangement au monstre du Loch Ness. 









 Les lieux : La forêt fait partie intégrante du film puisque c'est la maison de Kong et l'équipage du bateau cherche Ann dans la forêt.





Les thèmes : L'anormalité sous tous ses aspects est le thème principale avec le gigantisme de Kong. Aussi, il y a dans le film, des espèces qui sont disparus depuis des millénaires comme les dinosaures.





Aspect technique : Au moment où Ann se fait capturée, c'est la nuit. Ce qui donne des images sombres. Les sons aussi de Kong et des autres animaux sont très important. Le cri de Kong aurait été créé à partir d'un rugissement de lion inversé et ralenti.

lundi 25 février 2013

La vita è bella


Titre : La vita è bella

Réalisateur : Roberto Benigni

Date de sortie : 1997

Synopsis : Un homme juif tente de conquérir le coeur d'une jeune professeure. Après plusieurs années, un enfant naît de leur union, mais alors que l'enfant est tout jeune, ils sont envoyés dans un camp nazi. Le père, ne voulant pas effrayé son enfant, lui dit que c'est un jeu et qu'ils peuvent gagner un vrai tank. L'enfant embarque dans le jeu et les jours se passent dans le camp.

Critique : Avant de voir le film, je dois avouer que j'avais eu quelques critiques qui disaient que le film était très triste et qu'il parlait de l'horreur des camps de concentrations. J'avais en tête un film qui ressemblerait à La liste de schindler et j'avais peur d'être ému et choquer par le film comme le merveilleux film de Speilberg avait su le faire, mais je me suis trompé. En fait le film est l'un de plus beau film que j'ai vu. Malgré le sujet très dur des camps de concentrations, Benigni a été capable de parler de violence d'une manière très douce et qui, après coup, trouble même encore plus que si elle avait été présentée directement. Ce film est absolument saisissant et magnifique. Le jeu des acteurs est génial et nous permet vraiment de nous mettre à leur place. Le travail du réalisateur est magnifique, car il nous permet vraiment de saisir à quel point le père ne veut pas que son fils comprenne ce qui se passe. C'est un film à voir absolument.

Scène marquante : Un soir alors, Guido, le personnage principal, est choisi pour être serveur pour les hauts dirigeant allemand. Il passe une soirée un peu plus relaxante comparé à la misère de leur condition en camp de concentration et après sa soirée revient dans son dortoir avec son fils qui dort dans ses bras. La nuit est pleine de brouillard et il se perd en chemin. Il tombe face à face avec un montagne énorme de cadavre empilés un par dessus l'autre comme des carcasses d'animaux sans importance. Guido regarde l'immensité du tas et tapote le dos de son fils qui dort et semble se demander s'ils ne finiront pas eux-même dans cet amont. 

mardi 12 février 2013

Cinéma Russe


Dziga Vertov : Denis Arkadiévitch Kaufman est un cinéaste russe né à Białystok le 2 janvier 1896. Il a suivit des cours de musique dans un conservatoire et commence à écrire des poèmes. Son style se dit futurisme et c’est ceci qui lui inspire son surnom qu’il adoptera toute sa vie, Dziga Vertov qui signifie toupie qui tourne. Il étudie aussi la médecine et s’adonne à ce moment à des expériences de son et crée le laboratoire de son. En 1922, Vertov, son frère Mikhaïl et son ami Mikhaïl Béliakov fondent le groupe des Kinoks. Il épouse en 1923 Elizaveta Svilova une monteuse de film. En 1924, le groupe Kinoks crée leur premier film Kinoglaz. Le groupe réalise plusieurs films et en 1929 achève le film L’homme à la caméra commencé en 1926. À partir de 1941, Vertov réalise des actualités de guerre, mais continu quand même à réaliser quelques films dont À toi et Le serment de la jeunesse. Vertov meurt d’un cancer de la gorge en 1954.



 
Lev Kuleshov : Lev Kuleshov est un théoricien du cinéma né le 1er janvier 1899 à Tambov en Russie. Kuleshov a été éduqué à la maison par son père, un diplômé du collège des arts de Moscou. Il invente l’effet Kuleshov et établie deux sortes de montages soit le montage réflexe et le montage des attractions. En 1916, il est invité par le cinéaste Evgueni Bauer à faire ses décors pour son film. En 1917, il est décorateur, assistant et acteur pour le film À la recherche du bonheur. La même il réalise son premier film Le projet de l’ingénieur Pright dans lequel il utilise pour la première fois la théorie de Kuleshov. Il réalise plusieurs films dont L’horizon et Le grand consolateur. Il réalise son chef-d’œuvre Dura Lex en 1926. Malgré tout son talent, il n’a pas beaucoup de succès et se concentre plutôt sur sa carrière d’enseignant. Il abandonne sa carrière de réalisateur en 1944 pour devenir directeur du VGIK et meurt en 1970 à Moscou.



Sergeï Eisenstein : Sergeï Eisenstein est né en 1898 à Riga. Il commence sa vie en étant ingénieur municipal et entre à l’institut des ingénieurs civils de Petrograd. En 1917, il s’enrôle dans l’armé en tant qu’ingénieur. Il est démobilisé en 1920, il commence sa carrière en tant que metteur en scène et décorateur. Il y rencontre Meyerhold qui influencera grandement sa carrière. En 1923, il tourne son premier film Le journal de Gloumov. En 1924, il réalise La grève et en 1925, il réalise Le cuirassé de Potemkine qui présente la célèbre scène de l’escalier d’Odessa. Ses œuvres utilise principalement un montage unique et la technique du « cinéma poing » qui s’oppose au « cinéma œil » de Vertov.  Il montre entre autre des images qui ensemble forme un deuxième sens et le spectateur crée un lien entre elles. Après ses nombreux voyages, Eisenstein est forcé par Staline de revenir en URSS et il commence à devenir suspicieux à propos du réalisateur. Un superviseur officiel lui est assigné et il se fait refuser plusieurs films. Ivan le terrible est récompensé par Staline, mais le deuxième film est censuré parce qu’Ivan n’est plus montré comme un héro. Un troisième film est entamé, mais jamais terminé. Eisenstein meurt en 1948 d’un hémorragie interne

L'homme à la caméra

Critique : Le film de Vertov est, selon moi, un bon film. Quand on pense aux techniques qui étaient utilisées pour monter un film à cette époque, il est assez impressionnant de voir tout le travail qui est mis dans ce film. Aussi, il y a plusieurs effets visuels dans L'homme à la caméra dont entre autre le split-screen, le ralenti, la superposition  mais l'effet que j'ai trouvé vraiment intéressant à voir c'est l'effet Kouleshov. Il y a plusieurs scènes utilisant cet effet et je trouvais intéressant de le voir mis en application dans un film. Ça donnait un effet très réaliste. Pour ce qui est de la trame musicale, personnellement je crois que si la trame originale avait été mise à la place de la fausse trame, je n'aurais pas trouvé le film aussi intéressant et je n'aurais pas écouter le film au complet. En plus, avec la chanson, j'avais encore plus l'impression d'être dans un vidéoclip. Bref, j'ai bien aimé regarder le film et je trouve vraiment impressionnant de voir le travail qui se trouve dedans. 

jeudi 7 février 2013

The great dictator

Titre : The Great Dictator

Date de sortie : 1940

Réalisateur : Charles Chaplin

Synopsis : Durant la Première Guerre mondiale, un soldat, barbier de profession  aide un  pilote du nom de Schultz à piloter son avion. Alors qu'il sont en vole, un accident arrive et les deux s'écrase et le barbier est amené à l'hôpital où ils passent plusieurs années. Un jour, il s'enfuit de l'hôpital et revient chez lui. Mais le barbier à perdu la mémoire et ne comprend pas ce qui se passe. Son commerce est dans l'enceinte d'un ghetto juifs. Pendant ce temps, Hynkel dirige son pays, l'Allemagne en désirant faire de la population une race pure. Le barbier se retrouve dans une drôle de situation alors qu'un mandat d'arrestation est établie contre lui.


Critique : The Great Dictator est le premier film de Chaplin que je vois au complet. Je dois avouer que j'ai été agréablement surprise du film qui fait rire, mais aussi qui ridiculise la dictature de Hitler. J'ai trouvé qu'il a de l'audace dans ce film même si la critique est ironisé par le personnage de Hynkel. Le film est aussi très amusant et même s'il dure 2 heures je n'ai pas trouvé une seule minute de ce film longue. Les personnages du barbier et de Hynkel sont magnifiquement interprété par Chaplin. Et même s'il interprète deux personnages dans ce film, il sait comment donner à chacun d'eux une teinte personnelle et distincte. J'ai beaucoup aimé le film et les quelques scènes muettes sont selon moi les plus belle du film, un genre d’hommage à ce qu'il a fait toutes les années auparavant. 

mardi 5 février 2013

Airplane!


Titre : Airplane! (Y a t-il un pilote dans l'avion) 


Réalisateur : Zucker and Zucker et Jim Abrahams

Date de sortie : 1980

Synopsis : Ted est un ancien pilote de l'armée qui a eu un mauvaise expérience avec son avion et il ne veut plus toucher à un tel engin. Mais Ted veut tenter de reconquérir le coeur de sa bien-aimé Elaine qui est agente de bord dans un avion. Ted d:écide donc de prendre l'avion dans laquelle Elaine est, mais un plat de poisson rend quelques passagers et les pilotes inaptes. Pris dans un avion sans pilote, ils doivent se débrouiller pour atterrir.

Critique : J'ai trouvé ce film très amusant et relaxant. L'humour de ce film est assez surprenant et très original. J'ai beaucoup aimé la caricature des personnages qui rendait les gags improbable presque normal aux yeux des personnages. Aussi, ce qui est très intéressant dans ce film c'est tout ce qui se passe aussi à l'arrière scène, il y a énormément de blague qui se passe derrière. J'ai ris du début à la fin et je le conseil vivement pour passer une soirée absurde. 

Burlesque 

Jeu physique des acteurs : 0:18:55 : Ted raconte l'histoire de comment il a rencontré Elaine et nous passons dans un flash-back. On voit Elaine et Ted danser sur Staying Alive une danse endiablée qui est totalement impossible selon la gravité. Ça commence avec une chorégraphie normal puis sa devient impossible. Ted lance Elaine et Elaine lance Ted à son tour. Ted fait des mouvements comme s'il flottait. 

Bastonnades

Utilisation de nourriture : 0:39:12 : Le capitaine a perdu un des deux copilotes. Alors que le pilote parle au médecin, le copilote tombe malade lui aussi et l'avion descend à une vitesse fulgurante parce que le copilote est tomber sur le volant. Une agente de bord qui tenait des assiettes de nourriture échappe l'assiette plein dans la face d'un homme âgé.  

Coups : 0:7:58 : Elaine vient de dire à Ted qu'elle allait continuer sa vie seule et Ted est laissé seul dans l'aéroport. Un soliciteur vient le voir et lui demande s'il veut avoir une fleur et faire une don pour la fondation de l'église de la conscience inconsciente. Ted lui donne un coup de poing dans la face pour le faire taire. 

Chute corporelle : 0:52:07 : Un homme du nom de Paul vient chercher le commandant Krammer pour qu'il donne des instructions pour l’atterrissage de l'avion. Les deux hommes sont dans l'auto et le commandant conduit et accroche violemment un cycliste qui tombe par dessus l'auto. Le commandant ne semble pas vraiment s'en rendre compte.

Effets comiques inattendus : 0:55:10 : C'est une scène du film qui n'a aucun rapport avec le film. On voit le tapis à bagages qui contient non pas des bagages, mais des passagers qui cherchent leur bagages qui se trouvent autour du tapis à la place des passagers. 



Effets comiques inattendus 2 : 0:1:01:18 : Un homme qui travaille à l'aéroport de Chicago téléphone à la femme du commandant de l'avion pour lui annoncer que l'avion de son mari à quelques problèmes. Lorsque l'homme lui annonce cela, elle ouvre la lumière et on voit un cheval couché à ses côtés. 

Slapstick : 0:54:10 : Ted vient de prendre le commandement de l'avion et une femme commence à devenir un peu trop nerveuse. Elle crit qu'elle n'en peut plus et qu'elle veut sortir alors l'agente la brasse, mais un homme la tasse et la brasse elle aussi et la frappe. Puis une chaine se forme où plusieurs personnes se suivent et la frappe et la brasse.


Keystone cops : Il n'y a pas de keystone cops dans le film.


 Running gag : Tout au long du film, Ted racconte à plusieurs personnes sont histoire avec Elaine et chaque personne se suicide à la fin de son histoire parce que c'est long et ennuyant. À trois reprise dans le film, une personne différente se suicide à côté de Ted. Ce qui fait aussi que Ted est toujours assis à côté de quelqu'un de différent durant le vol.